Sylvain on août 28th, 2014

Je dois vous en parler puisque je trouve que cela en vaut la peine. Cela fait maintenant un bout de temps que j’essaie de trouver un ressort pneumatique qui convient bien à ma voiture. J’ai une Mazda 323 C IV avec un ressort pneumatique qui ne répond plus à l’arrière gauche. Sans plus attendre, je m’y rends sur le site et j’ai découvert tout un monde de pièces détachées qui s’est ouvert à moi. Rapidement, j’ai fait mes recherches et j’ai trouvé ce qu’il me fallait.

Johns ressort pneumatique pour Mazda 323 C IV

Mazda 323 C IVMa petite Mazda avait déjà souffert d’une mauvaise suspension à l’arrière gauche. Aux moindres dénivellations ou dos-d’âne, il en pâtit. Il ne m’a pas pris beaucoup de temps pour trouver ce que je cherchais. C’était un jeu d’enfant puisqu’il a seulement fallu enter le modèle et le type de ma voiture et la pièce détachée que je cherchais et le compte est bon. Le site m’a tout de suite indiqué le ressort pneumatique Johns, semblable à celui qu’il fallait remplacer.

Trouver la pièce qui convient

En visitant le site Piecesdiscount24.fr, en seulement quelques clics, j’ai pu trouver le ressort pneumatique Johns. En fait, le ressort pneumatique est tout à fait un important composant des systèmes de suspension pneumatique de tout véhicule. Il a pour fonction d’atténuer les chocs dus aux inconforts de la route. Il rend également plus stable la conduite ainsi que le comportement de la voiture. Aussi, il permet aux passagers et au conducteur de s’installer confortablement durant le trajet. En effet, le ressort pneumatique Johns convient pratiquement à ma Mazda 323 C IV et coute moins de 22 euros. Il présente une longueur de 545 mm, une force d’éjection de 350 Newton et permet un côté d’assemblage à gauche.

Sylvain on août 22nd, 2014

Quelques beaux « cailloux » chez Sigma pour cette Photokina. En plus du 18-50 mm f:2,8 DC que nous avons annoncés en avant-première le mois dernier, quatre autres objectifs sont au programme.

Transstandards

On passera vite sur la version « 4/3 OIympus » du 18¬125 mm f:3,5-5,6 DC testé le mois dernier dans RP (et presque Top Achat). On s’intéressera davantage aux deux évolutions des transstandards phares de la marque: le 28-70 mm f:2,8 et le 24-70 mm f:2,8.

Olympus 23

Tous les deux passent à la génération « DG » optimisée pour le numérique. Rappelons que chez Sigma les « DC » sont uniquement digitaux (ils ne couvrent pas le 24×36), tandis que les « DG » sont mixtes avec une optimisation optique pour les reflex à pixels. Le 24-70 mm hérite en plus d’un qualificatif « macro » un peu usurpé puisqu’il n’atteint « que » le rapport 1:3,8. Les prix annoncés sont de 430 € pour le 28-70 mm et de 600 € pour le 24-70 mm. Soit juste 25 € de plus que le très récent 24-60 mm f:2,8 DG (testé le mois dernier lui aussi). Deux objectifs étonnamment proches qu’il faudra comparer. A noter que le 24-60 mm pèse 555 g contre 7t5 g au 24-70 mm. 160 g d’économisé ou 10 mm de focale, un choix Cornélien! Le quatrième objectif est une vraie nouveauté: c’est un 150 mm f: 2,8 APO DG Macro HSM EX ! Un nom à rallonge qui fait penser à Nikon… et qui signifie en fait que cet objectif bénéficie de tout! En plus de la motorisation interne HSM, il dispose, lui, d’un vrai macro au rapport 1/1. L’objet a l’air superbe et on a hâte de le tester. Sortie en octobre à 900 €. Enfin, Sigma va aussi lancer un nouveau flash annulaire, le EM-140 DG (450 €) qui possédera un Nombre Guide de 14 à 100 ISO. Synchro FP possible. Idéal pour la macro en numérique.

Sylvain on août 6th, 2014

La légende de lady Godiva raconte que cette jeune épouse d’un seigneur avare de sa fortune aurait parcouru, au XIe siècle, à cheval et dans le plus simple appareil, les rues de Coventry, en Angleterre, pour protester contre les taxes exorbitantes imposées par son mari. l\.1ais personne ne savait à quoi elle ressemblait… jusqu’à aujourd’hui. En fouillant la première cathédrale de Coventry, des archéologues ont découvert un vitrail représentant le portrait d’une femme blonde. « Nous ne pouvons être sûrs à 100 % qu’il s’agit de lady Godiva, reconnaît Margaret Rylatt. Mais comme son mari était un bienfaiteur de la cathédrale, cela semble plausible. » L’équipe de Margaret Rylatt doit encore répertorier des milliers de morceaux de verre. Mais, même s’il s’agit de lady Godiva, elle sera habillée. Certains historiens pensent que selon la légende la jeune femme était « nue », tout simplement parce qu’elle ne portait pas ses plus beaux atours ce jour-là.

Sylvain on juillet 18th, 2014

ReutersFin août, la nouvelle tombe sur le fil de l’agence Reuters : Ilford lmaging Ltd dépose le bilan. Aussitôt, l’inquiétude nous assaille. D’autant que l’on apprend que seul le département photo n & b est concerné. Vivons-nous les dernières heures de la HP5, de la FP4, des Delta? Sans doute pas, mais une évidence s’impose: l’industrie du n & b argentique (film mais aussi papier et chimie) va mal, et à l’avenir, on peut penser que certaines marques vont disparaître ou fusionner. N’oublions pas qu’Agfa, aussi, de son côté émet des signaux inquiétants … Toutefois, on sait que dans le nord de l’Angleterre, il existe une deuxième marque de papier photo, Kentmere. Va-t-on alors assister à terme à une union sacrée « anglo-anglaise » pour mieux défendre le n & b traditionnel « made in England » ? En attendant que tout cela s’éclaircisse, nous avons interrogé Stéphane Douville, Directeur Marketing et Communication de la filiale Ilford France pour mieux savoir concrètement ce qui va changer. Adieu les PanF, Cooltone et Portfolio… Afaire à suivre.

Stéphane Davolle

Quelle est la situation exacte de l’entreprise Ilford ?

Comme vous le savez, Ilford dispose d’une structure globale avec des filiales dans tous les grands pays et deux usines principales, une en Suisse à Fribourg, et une autre en Angleterre à Mobberley. Nous sommes confrontés depuis quelque temps à une baisse significative des ventes de certains produits noir & blanc fabriqués principalement à Mobberley. Il était nécessaire de restructurer notre usine pour mieux nous adapter aux nouvelles exigences du marché. Pour procéder à un plan de structuration profond dans cette usine qui employait 740 personnes, il fallait passer par un dépôt de bilan de cette entité. Notre actionnaire Doughty-Hanson (un fond de pension anglais) a la ferme intention de procéder à une restructuration intelligente de cet outil de production pour nous permettre de poursuivre la production des produits noir et blanc dans des bonnes conditions financières. Ce dépôt de bilan ne concerne absolument pas l’autre usine de Fribourg, spécialisée dans la production des papiers jet d’encre.

Concrètement, quels sont les produits n & b qui vont disparaître ?

L’objectif est réellement de nous concentrer sur les produits qui se vendent bien et qui sont rentables. La gamme de films en particulier est un grand succès d’Ilford et les photographes nous sont vraiment fidèles. Dans l’état actuel de mes informations, je peux vous annoncer que les gammes Delta (100/ 400/3200) et les FP4 et HP5 « Plus » seront reconduites sauf en plan-films. Quant aux PanF Plus et SFX 200, elles vont sans doute disparaître. Les bobines 120 devraient poursuivre leur carrière. Du côté des papiers, nous allons certainement discontinuer la gamme de papiers à grade Ilfobrom Galerie qui représente des ventes très confidentielles. L’Ilfospeed sera toujours disponible, en revanche sans doute dans une gamme de grades plus réduite. En Multigrade les versions Cooltone et Portfolio vont probablement être arrêtées. Tous les autres produits, Multigrade IV et FB, et Multigrade Warmtone FB vont être reconduits.

Comment voyez-vous l’avenir d’Ilford ?

Depuis quelques années, le principal actionnaire du groupe est le fond de pension Doughty-Hanson qui a beaucoup œuvré pour nous donner les moyens de restructurer nos activités vers le jet d’encre. Le grand public ne le sait probablement pas, mais Ilford est aujourd’hui n02 mondial pour la production de papier jet d’encre photo (support RC), et n°1 mondial en ce qui concerne la fabrication de pigments utilisés dans les encres. Je pense que l’avenir est donc assuré et que nous avons fait notre révolution numérique. Maintenant il est certain que ces nouvelles activités qui se développent très rapidement doivent être gérées en parallèle avec une baisse sensible des activités traditionnelles argentiques. La difficulté principale est d’adapter nos usines à cette révolution. C’est ce que nous allons pouvoir faire avec cette restructuration.

Sylvain on juillet 5th, 2014

Le plus grand coléoptère du monde menacé par le braconnage et la déforestation

coleoptereInsecte endémique des Antilles, le dynaste Hercule est le plus grand coléoptère du monde. Ce scarabée (appelé aussi « scieur de long») peut mesurer jusqu’à 18 cm. Il n’en est pas moins menacé et le parc national de Guadeloupe joue un rôle important dans sa préservation. Pour Claudine Bignand, chef de la mission « Biodiversité» : « En forêt protégée, la principale menace semble être le braconnage; cet insecte étant recherché par des collectionneurs du monde entier. Les actions de préservation passent par la surveillance des agents de terrain. En forêt non protégée, le risque provient, avant tout, de la destruction ou de la modification de l’habitat: les coupes à blanc contribuent, notamment, à changer le microclimat (température et humidité) des troncs en décomposition (celle-ci dépendant de la « touffeur » de la forêt), dans lesquels vit sa larve. L’existence du parc est le meilleur garant de l’habitat du dynaste et de l’avenir de cette espèce dont l’écologie et la biologie sont encore peu connues. On ne sait rien, par exemple, de ses habitudes alimentaires. En élevage, il se nourrit de fruits, pourtant absents de son habitat naturel. » Ses vols seraient des vols d’accouplement, mais il reste beaucoup à apprendre sur ce coléoptère qui, par sa taille, a constitué une curiosité dès la fin du XVIIe siècle.

Au japon, d’insolites vestiges chrétiens

La stèle funéraire découverte près d’Osaka est exceptionnelle: elle appartient à la plus vieille tombe chrétienne jamais exhumée au Japon. Minoru Nojima, spécialiste en histoire, a trouvé cette relique de pierre à Shijonawate : « Notre joie a été immense en voyant la croix sur cette stèle qui date de 1581. C’est d’autant plus incroyable qu’elle appartenait au seigneur du château de Tawara. Il faut savoir que le christianisme a été interdit en 1614 par le gouverneur Tokugawa. Les représailles étaient terribles. Des chrétiens ont abandonné leur foi; tombes et stèles ont été utilisées comme matériaux de construction. La stèle de Reiman Tawara – qui avait rencontré Oda Nobunaga, un très populaire commandant militaire – a été enterré sous le temple de la famille Tawara. » Ainsi protégée, elle a traversé plus de quatre siècles.

Sylvain on juin 21st, 2014

La princesse Idout n’a pas vécu jusqu’à l’âge adulte. Les bas-reliefs qui couvrent les murs en pierre calcaire de sa chapelle mortuaire ne la montrent que sous les traits d’une enfant. Elle est représentée au milieu de toute la luxuriance de la vallée du Nil: des poissons et du gibier d’eau, des vaches avec leurs veaux, des troupeaux d’oies, un crocodile happant un hippopotame nouveau-né …

Des scènes délicatement sculptées, classiques pour une tombe royale égyptienne, mais quelque chose cloche. « Idout a remplacé quelqu’un d’autre », affirme Naguib Kanawati, professeur d’égyptologie. « Regardez ici, poursuit-il en me montrant sur l’un des bas-reliefs une zone rugueuse au-dessous des genoux d’Idout. Un pied a été gratté, effacé au burin, puis poncé avec du sable. Et le pagne d’un homme a subi le même sort. » Moi, je parviens à peine à distinguer la silhouette d’un grand gaillard dominant la fillette de plusieurs têtes.

La princesse Idout mourut vers 2330 av. J.-C. Elle fut enterrée sous sa chapelle mortuaire, près des pyramides funéraires de son grand-père, le roi Ounas, et de son père, le roi Téti, dans un lieu connu aujourd’hui sous le nom de Saqqarah. Ce site, qui regroupe les premières tombes monumentales en pierre construites dans le pays, fut l’un des cimetières royaux les plus vénérés de l’Égypte ancienne.

Illustration de la princesse

Quand la tombe d’Idout fut découverte, au milieu des années 1920, personne ne prêta grande attention à ses bas-reliefs mutilés. Naguib Kanawati, lui, s’y est récemment intéressé et y a décelé les traces d’un drame inattendu. « J’ai relu les hiéroglyphes et identifié le destinataire originel de la tombe, m’explique-t-il. Il s’agissait d’Ihy, le vizir, l’équivalent du Premier ministre de l’époque, du roi Ounas. »Comme la plupart des riches dignitaires égyptiens de son temps, Ihy a passé plusieurs années à préparer le lieu de son repos éternel. Pourquoi alors la princesse l’a-t-elle rejoint dans la tombe?

Naguib répond à cette question en avançant une nouvelle et séduisante hypothèse, corroborée par les mystérieuses circonstances de l’accession au trône de Téti : une révolution de palais. « Nous ne savons pas d’où venait Téti. Nous savons juste qu’il a épousé une fille d’Ounas et qu’il est devenu roi à la mort de son beau-père. Je pense qu’il est monté sur le trône par un coup de force auquel Ihy a vainement tenté de s’opposer. » En guise de châtiment éternel, Téti aurait donné la tombe d’Ihy à l’une de ses filles.

princesse qui travaille

Cette succession dynastique, qui semblait jusque-là naturelle, est l’un des nombreux épisodes de l’histoire qui apparaissent sous un nouveau jour à Saqqarah, où les sépultures couvrent 3 000 ans et trente et une dynasties de l’Égypte ancienne. Les archéologues y ont découvert des indices de rivalités et de drames sanglants: conspirations, assassinats, règlements de comptes impliquant des reines intrigantes, des dignitaires ambitieux et des religieux fanatiques.

Sylvain on juin 7th, 2014

Ces quatre jours étaient également pour nous, le moyen de découvrir quelques nouveautés 1999, sorte d’avant-première du Salon de Paris. Parmi les chantiers présents, Nautitech était engagé sur deux fronts. Un 47S pour la régate, et un 395 pour l’exposition. Quoi de plus normal? Le 395, premier des bateaux essayés par votre revue en 1996 a fait ses preuves et pour cause: le nombre de petits frères sortis de Périgny est là pour le prouver (30 aujourd’hui), Par contre, resté à quai durant les deux jours de régates et répondant aux questions de promeneurs, je restais le plus souvent évasif sur ce bateau. J’ai tout de même fait quelques 1700 milles sur ce modèle et pourtant je ne le reconnaissais pas vraiment. Quelque chose de plus, pas flagrant mais omniprésent, sorte de petit plus qui fait la différence. Cyrille Rognon, responsable du développement Nautitech m’éclaire.
Ce bateau est un 395 Prestige, nouveauté 99 du chantier et le numéro un est sous mes yeux. Prestige, vous avez dit Prestige? Ok mais en résumé c’est quoi?
Tout simplement un bateau de propriétaire. Il ne faut pas nier qu’un engouement des chantiers durant la période « défisc » les amenaient à construire des bateaux plutôt destinés à la location. De cette base, ayant éprouvé et approuvé les carènes ainsi que le plan de voilure, il ne restait qu’à proposer une solution » clé en main » de plan de pont (un peu de teck par exemple), d’aménagements intérieurs (coques proprio, une cabine pour une salle de bain) et plein d’astuces liées à la croisière familiale. Grande soute à voile, table de carré façon marqueteries, protection cuir sur chandelier etc…

Le prestige n’est pas vraiment définissable, c’est en fait l’acheteur qui fait son bateau sur une liste de versions et de solutions liées à l’expérience du chantier; que ce soit pour un 395, 435,475 ou 65, à vous de choisir.

Sylvain on mai 26th, 2014

Les designers d’Olympus se sont lâchés pour ce nouveau compact bijou 4 MP ! Le Mju-mini sort de l’ordinaire avec sa petite carrosserie tout arrondie, sa molette de commande horizontale et son opercule affleurant de protection de l’objectif. Il fait un peu penser à certains briquets des années 60 : ça change des austérités parallélépipédiques et c’est plutôt réussi… Appellation Mju oblige, des joints toriques assurent au boîtier une finition tous temps. Les ingénieurs d’Olympus n’ont pas développé de solution (façon « sliding lenses » Pentax) pour loger un bloc optique x3 dans la petite épaisseur (27,5 mm) du mini D. L’amplitude est donc limitée à x2, couvrant un équivalent 35-70 mm f: 3,5-4,9 avec une MAP mini de 8 cm en position « super macro ». Pas de place non plus pour un viseur optique … Il faudra se contenter d’un écran ACL de 4,6 cm, bien garni par 134 000 pixels et autorisant 1600 d’angle de vue. Bien entendu, c’est une xD qui fait office de support de stockage. Pas moins de cinq finitions sont au programme : silver, noir, bleu, orange et rouge, il y en a pour tous les goûts, au prix de 350 €. A noter que les appareils Olympus seront désormais livrés avec un nouveau logiciel de gestion d’images : Olympus Master 1.0. Pas de retouche, mais des fonctions de transfert, de conversion pour les fichiers Raw, de catalogage avec recherche par mots-clés et d’édition pour les clips vidéo.

La suite à Cologne…

Bien entendu, on attend des nouveautés en reflex, en gamme E, à la Kina. Beaucoup de bruits circulent et le forum de discussion du site digitalkamera.de parle d’un E-300. De toute façon, il est évident qu’Olympus se doit de proposer un modèle d’entrée de gamme pour mettre le format 4:3 en concurrence avec les reflex « classiques » au ratio 3:2. Avec des objectifs plus économiques… Une version « boostée » du El, en doublant la définition à 8 MP par exemple, serait aussi, à notre sens nécessaire, pour bien montrer qu’Olympus croit toujours à son système 4/3. Toutes les infos le mois prochain.

Sylvain on mai 14th, 2014

Certes, il y a le confort du « sur mesure » et la satisfaction de faire ses impressions soi-même. Mais si vous manquez de temps, vous pouvez être amené à confier vos travaux photo à un labo équipé d’un minilab afin d’obtenir des tirages de lecture ou des agrandissements… Alors lisez ces lignes, vous éviterez bien des déconvenues !

Aussi « douée » soit-elle en i noir et blanc, on ne peut pas imprimer toutes ses photos chez soi sur son imprimante… Ne serait-ce qu’en raison du temps nécessaire pour réaliser des tirages de lecture ou de la limite au format A4 dans la majorité des cas… Le traditionnel aller-retour au labo reste donc de mise, à condition de bien s’y prendre… Pour vous y aider, nous avons confié de façon anonyme à différents labos un CD d’images contenant bon nombre de « pièges » et avons comparé les prestations de ces labos. Les résultats en termes de neutralité sont bien souvent tributaires du sérieux de l’opérateur et de ses compétences, mais on peut dégager de grandes lignes de conduite et une liste des bévues à ne pas commettre pour obtenir de bons tirages noir et blanc sur minilab numérique…

Tireuse frontier

Niveaux de gris ou RVB ?

Les minilabs numériques utilisent du papier couleur. L’image monochrome sera donc, quoi qu’il arrive, tirée sur un papier couleur et envoyer un fichier en niveau de gris au labo n’est pas un gage de neutralité du tirage final. D’ailleurs, le mode niveau de gris ne peut pas être utilisé directement par les minilabs ou les tireuses, mais doit être converti en RVB par la machine ce qui la ralentit. Les laborantins qui voient ainsi leur productivité chuter préfèrent donc que l’on fournisse des fichiers directement utilisables, en RVB. Certains vont même jusqu’à ne pas accepter les fichiers en niveaux de gris. Sur notre « CD piège », aucune image en niveaux de gris n’a été tirée par les labos qui nous ont tous annoncé un fichier « non conforme ».

8 ou 16 bits ?

La profondeur de couleur des images peut aussi poser problème aux tireuses. Tous les fichiers codés en 16 bits que contenait notre CD ont été déclarés « non conformes » et n’ont pas été traités. Le 8 bits est donc de mise.

Tiff ou Jpeg ?

Les formats Tiff et Jpeg sont parfaitement reconnus par les machines. Evitez simplement avec le Tiff d’utiliser ses options de compression ou ses possibilités d’enregistrement des calques. Mais si le Titf est accepté et traité par le labo, le poids de fichier est élevé et une compression raisonnable en format Jpeg (entre 8 et 10) permet d’enregistrer plus d’images sur un seul et même support, sans qu’aucune perte de qualité ne soit visible sur le tirage.

Et le poids de fichier ?

En soi, les minilabs n’imposent pas vraiment de limite tant que l’on reste dans le domaine du « raisonnable »… Inutile de fournir un fichier de 60 Mo pour le tirer en 10 x 15 cm, cela ne fait que « planter » les machines’ et vous attirer les foudres du laborantin .. Les fichiers trop lourds ne font que ralentir les tireuses et seront toujours interpolés, avec plus ou moins de précision par la machine… Par sécurité, préférez fournir un fichier au format de tirage et à 300 dpi tout en en contrôlant l’accentuation. Pour un tirage 10 x 15 cm, on n’a pas besoin d’un fichier de plus de 6 Mo…

En conclusion

Différence entre jpeg et jpeg2000

Il est difficile de généraliser tant les résultats sont tributaires des compétences et du sérieux de l’opérateur en charge de la machine… Mais sur les différents labos auxquels nous avons confié notre CD-test, aucun ne nous a laissé le choix de la finition du papier. Le brillant est donc de mise et le format souvent limité au 20×30 cm. Pour les formats supérieurs, il faudra envisager d’autres solutions (voir encadré ci-contre). Côté neutralité, les résultats sont assez aléatoires et oscillent entre le « presque neutre » et le « franchement colorisé ». Les tirages sont en effet systématiquement réalisés sur du papier couleur et caler parfaitement sa machine, son exposition et son traitement chimique frise la gageure. S’il est difficile d’envisager une expo par ce biais, réaliser des tirages de lecture très corrects est tout à fait possible. Mais pour obtenir les meilleurs résultats, mieux vaut avoir de bonnes relations avec son laborantin.

Sylvain on mars 13th, 2014

sticker pitbullLe chien est le meilleur ami de l’homme. Ce sont des animaux très fidèles et tout aussi obéissants si on les dresse bien. D’ailleurs, on nous recommande toujours de bien les éduquer pour leur propre bonheur ; parce qu’un chien sans discipline se sent inutile et incompris, et de ce fait devient malheureux. Pour ceux qui ont la chance de pouvoir les élever à la maison, c’est une grande joie de les voir jouer et gambader dans toute la maison. Et ils peuvent aussi faire office de gardiens.

Malheureusement, quand on habite dans une maison en collocation ou dans un appartement, il est parfois inscrit qu’il est interdit de garder un animal à domicile, surtout un chien, car peut être dangereux ou nuisibles de par le bruit qu’ils émettent et les allergies qu’ils peuvent provoquer chez certaines personnes.
Heureusement, on peut toujours montrer notre admiration pour ces animaux à travers les photos et les bibelots divers. Pour décorer nos murs sans causer de chichi à notre entourage par exemple, on vous propose de coller ces stickers muraux pitbull sur toutes les surfaces planes que vous avez.

Le pitbull est un chien issu du croisement entre les bulldogs et des terriers. Il tient son nom de l’activité à laquelle il a été destiné : défendre les alentours contre les taureaux et les ours, Pit qui veut dire Fosse et Bull ou taureau. Cette race a commencé à être reconnue vers la fin du XIXe siècle. Mais en France, en Australie ou dans d’autres pays encore, une loi interdit formellement l’importation de ce chien dans leur territoire, et en Danemark également, plus le fait de ne pas pouvoir l’élever ou la vendre ou quoi que ce soit du même style, car ce chien est classé comme étant un animal très dangereux.

chien en sticker

Pourtant, beaucoup adorent ce chien à poil court parce qu’il est bien musclé et féroce. S’il a une prise, il ne la lâchera pas jusqu’à en mourir, à moins qu’on l’ordonne de s’arrêter. Il peut peser entre 25 à 41 kg. Et il peut avoir une couleur unie ou mélangée : beige et blanc, noir et blanc, etc. Et la couleur de son museau est parfois rose, bleu ou noir. En tout cas, pour ceux qui sont fans de ce chien, on peut dire que les Pitbulls sont de très belles bêtes, et très fidèles en plus.

À défaut d’avoir un Pitbull à la maison, ou tout simplement pour le plaisir de décorer Pitbull, mettez donc le profil de ce chien sur vos murs afin d’égayer vos journées. Le sticker montre le chien dans toute sa splendeur : les traits bien fins, les yeux tout charmeurs, une frimousse à tomber par terre. L’image est des plus véristes qu’on croirait réellement avoir ce chien devant soi. Aussi, il existe sous plusieurs coloris, peut être imprimé selon la dimension que l’on souhaite, repositionnable à souhait, tout cela élargira encore notre horizon quant à ce qu’on pourrait en faire.

Il faut savoir également que les adhésifs de Popstickers sont de très bonne qualité et peuvent être apposés sur toutes les surfaces planes possibles, du bois au carreau. Et ils ne risquent pas de se décoller à moins que l’on ait vraiment l’intention de les enlever. Et tout cela est disponible à petit prix. Avec un paiement en ligne totalement sécurisé, comme pour les banques, et une livraison gratuite des achats, il ne vous reste plus que passer commande devant votre ordinateur.