La firme Cannon exploite cette série qui marche bien un peu partout… sauf en France : les «Ninjas». Le premier «Ninja», interprété par Franco Nero, n’ayant pas fait un malheur… les autres films ont connu une sortie discrète en salles («Ultime violence») ou une distribution uniquement en vidéo («Ninja 3» chez UGC). Sam Firstenberg était déjà le réalisateur des épisodes 2 et 3, il était donc tout désigné pour cette quatrième aventure. Un Ninja est un maître des arts martiaux masqué et utilisant un tas d’accessoires (de l’étoile métallique au sabre) pour tuer. Il peut être au service du Bien, mais aussi à celui du Mal. Cet «American warrior» est un héros pur et dur. Il ne tue que s’il y est obligé, et uniquement avec ses poings. Il fait de son art martial une religion et une philosophie. Il a le sens de l’honneur et défend les opprimés. Normal, il est américain ! Initié par un maître asiatique, il est devenu amnésique et a tout oublié…, sauf son habileté aux arts martiaux. Le sémillant Michael Dudikoff fut une des raisons du sucés du film.
Les aventuriers de l’arche perdue
Professeur d’archéologie à l’université, Indiana Jones parcourt le monde à la recherche de trésors cachés. Son principal adversaire n’est autre que l’archéologue français Belloq, qui loue ses services à l’Allemagne hitlérienne. Les nazis veulent mettre la main sur l’Arche d’Alliance, qui renferme les tables de la Loi brisées par Moise voilà trois mille ans. Jones se met lui aussi suries traces de la fameuse Arche des Dix Commandements, aidé dans sa tâche par Marion, la fille du professeur Ravenhood. Une succession de cascades et de scènes épiques dans la chaleur d’une cité mythique vous propulseront dans l’univers endiablé du premier épisode des célèbres aventures d’Indiana Jones. Alors que le troisième volet («Indiana Jones et la dernière croisade») triomphe encore sur les écrans, c’est une occasion rêvée de se repasser inlassablement les exploits de cet aventurier séduisant.